a querry in Ubin

Monday, January 2, 2012

Resolution 2012

Pas vraiment un exercice obligatoire
Un exercise necessaire et salutaire
100 fois sur le metier remettez votre ouvrage
Dans mon cas 1000 fois peut etre

C'est la 11eme heure qui compte - pas la premiere, pas la dixieme
La onzieme - juste avant que les 12 coups sonnent
Qu'est ce que cela veut dire: cela veut dire
Es-tu pret? Que faut-il faire pour etre pret? Pret a quoi?
Pret a tout
Pres a porter? Non - sans doute non
Pret a tout - oui peut etre - donc pret a porter :-)
Creer le "Woo" effect -
Pour moi - j 'appelle cela le VOO effect: "victory over oneself"
Peut on etre sur de soi avant la onzieme heure?
Tout peut arriver d'ici la

L'argent?
Le pouvoir?
Le bonheur?
Sont-ce des choses que l'on choisit?
On se bat pour les avoir - mais sont elles a la dispositionde tous?
Il semble que chacun ait un destin particulier.
Ce destin depend-il de l'argent que l'on gagne? du pouvoir que l'on a?
Ils en font parti - sans doute
Mais ou eux je en venir?
Ce que je veux dire c'est: qu est ce qui est important?
L'argent, le pouvoir sont ils une fin en soit?
Ni l'argent, ni le pouvoir ne sont la cle du bonheur - c'est evident
Trop de milliardaires crient a l'aide tant leur vie est miserable - un minimum d'observation le rend evident
Quant au pouvoir - il est aussi evident qu'il corromp facilement - il rend fou, megalomane, aggressif, paranoiac

Par ailleurs - l'argent et le pouvoir sont comme des outils qui permettent d'accomplir de grandes choses
Ils sont un moyen - pas une fin
Finalement - s'en rendre compte - dans ce sens - d'abord s'en écarter - car ils ne sont pas un fin - puis, a 38 ans, les accepter comme nécessaires, comme des outils - c'est un pas important et ce n'est pas evident.

[l'argent]

Pour moi, cela n'a pas ete evident. D'abord une sorte de désintérêt - sorte de mépris pour l'argent - une incomprehension - ignorance, manque d'education.

La solution:

1-le livre sur l'homme le plus riche de Babylone (que Nicolas Moulin m'a offert). Toutes sortes de seminaires, de formation sur "comment faire de l'argent" - auxquelles je n'ai pas participer - mais elles sont surement efficaces et les principes sont similaires: mettre de cote - avoir plusieurs tirelires, investir....
Il y a ce concept de "financial literacy"

2-Finalement se mettre d'accord (avec moi-même) qu'une société doit etre gérée et bien gérée: cela commence par tenir les comptes, rendre des comptes - et en premier - ce qui semble evident mais ne l'est pas du tout: faire les comptes

Il y a quelque chose de têtu, d'obstine en moi - qui aime a douter de l’évident - remettre en question les vérités auxquels beaucoup croient sans meme se poser de question. Je n'y crois pas souvent --- arrogance, mepris - sans doute, mais sans doute pas seulement - un grande innocense certains disent - je pense - oui - qu'il y a une grande innocense.

Il y a un autenthic pourquoi derriere chaque pensee - et aussi un authentic pourquoi pas
Toute ma vie - je paie un prix eleve pour cela - le droit - la necessite peu etre chez moi - de poser cette question a tout bout de champs

[le pouvoir]

Je reste victime dune sorte de reverie permanente sur le pouvoir. J ai souvemnt des images de president de la republique, de premier ministre en tete. Je pense qu'ils symbolisent un reve, une quete de pouvoir - quasi absolu - ou - puisqu'en France le pouvoir absolu n'existe officiellement plus - de pouvoir maximal. Il y a une reconnaissance, et sans doute un grand respect du pouvoir chez moi.

Par ailleurs, il y a un rejet de l'autorite et la peur de devoir rendre des comptes - mefiance et degout -
Comment les deux: attraction et respect d'un cote, rejet et degout de toute alegiance au pouvoir - co-existent? c'est une question pertinente - au coeur de ma quete personnelle.

Il est donc important - delectable meme - que j ecrive a ce propos - penche sur la question :-)

J ai toujours joue - profite de la possibilite d'exercer de pouvoir sur les gens - ses parents (du chantage), ses professeurs (leur faire plaisir et leur faire croire que l'on sait tout - un terrible mensonge quand j'y pense aujourd'hui). La recehreche du pouvoir m'a pousse a mentir, deguiser, maquiller, travestir et trahir.

Par ailleurs, il m'a semble tres tot - a partir de mes 8 ans, peut etre meme avant - et pour sur des que le jeu de l'ecole, des bonnes notes et du "premier de la classe" a commence - que le jeu du pouvoir etait vain et menteur.

Vain parce qu'il tient essentiellement a des malentendus - se faire entendre par exemple, parler "fort" ou "plus fort" plutot que juste ou plus juste, etre au bon moment au bon endroit, etre convaincant plutot que parler vrai etc... J'ai vite eu le sentiment que le sophisme et la rethoric l'emportait sur l'amour de la sagesse et de la verite. Cette approche - tres Socratienne, Platonicienne (pour ne pas dire Socratique ou platonique) - est sans doute discutable - non pas quelle n'est pas valable - je continue a souscrire - intuitivement et raisonnablement a un haut idéal de justice, justesse et de vérité. Discutable sans doute dans le sens de De Bono - que l'on passe son temps a discuter de savoir si quelque chose a vrai ou faux, mais que l'on aurait tout avantage a apprendre a ce servir de la pensee en tant qu'outil qui nous aide a determiner, cerner, etudier le vrai, le faux, le bien, le mal etc....

L'ideal reste - mais on n'en reste pas la
La visee vers la l'ideal n'est qu'un debut - qui se prolonge par l'etude de l'outil qui nous permettra de mesurer, juger, approcher l'ideal et son oppose
Au dela de l'ideal, il y a donc un elan, une poussee vers l'etude et l'investigation.

Ou en est-on du pouvoir - mon propos initial?
Dans ma quete de l'ideal, je me suis vite rendu compte que le pouvoir etait l'instrument qui allait determiner la verite - verite du moment - et non l'ideal.

Je me suis vite rendu compte - ou auterement dit: en chemin vers le vrai, le juste - je me suis vite trouve sur une autre route - une route que je n'avais pas forcement choisie - que je n'aimais pas forcement.
L’idéal pouvait toujours être la, la visee, mais la cible avait tournee, par la force du pouvoir - et d'un pouvoir dont je ne maîtrisait pas forcement les tenants - et d'un pouvoir dont je reprouvais les pratiques - souvent: absence d’écoute, absence d'attention, manque de coeur et d'empathie - pas drôle, pas sympa... :-)

Rejet du pouvoir - sorte de rejet intelectuel - alors que neamnoims j'utilisais tout ce qui etait en mon pouvoir pour creer un semblant de "successful path", chemin de carriere - education, aspirations... - afin de continuer a "assurer dans la vie", "etre bon", cartonner, etc...

Quel contraste entre mon état de désabusement - sorte de dénuement spirituel et emotionel - un denuement tres fort, quasi complet si j'y pense aujourd'hui - une intense solitude "meta-physique" - personne - rien ni personne ---------------------------[ c'est dans un etat de priere et de "surender" - que j'ecris cela a ce moment donne - maintenant - (quelle est la traduction pour "surender"?)]

Quel contraste avec les efforts [de surface - pathetiques efforts si j'en juge aujourd'hui - triste gachi] pour "rester dans la course", battre et dominer - et comme je 'ecrivais quelques lignes plus haut: assurer dans la vie.

Rien d'authentic auquel je n'ai vraiment fais face

Quid du vrai, du juste?

Quid de la bataille - du combat pour le vrai et le juste? N'y a t il pas dans la direction posee par De Bono plus de verite vers cette quete? Et finalement, n'est-ce pas la voie vers laquelle je me dirige - professionalement du moins - experiential learning? Creer les conditions d'un apprentissage ou le vrai et le juste se presentent de maniere naturelle et --- indiscutable - "knowledge is being evoked in us - not downloaded..."

Quid de mes aspirations? Au contraire - un lache abandon

Quid de mes pre-dispositions? - celles qui font de moi un etre profondement tourne vers la recherche du juste et du vrai - un etre profondement tourne vers la recherche, le questionnement - un etre a la recherche - mais aussi en quelque sorte familier avec la question de l'esprit et du coeur -

Ce n'est pas un secret -ce n'est plus un secret - cela me semble un evidence - a 38 ans et alors que je regarde autour de moi - la vie, ma vie et les choix qui ont ete faits - par moi ou d'autres, autour de ma vie: voici venu le temps ou il est clair que c'est comme ca - il est clair - et cela m'a ete prouve - que le domaine spirituel a quelque chose de familier pour moi - il est clair que trop longtemps j'ai accepte d'en etre coupe ou separe ou ignorant ou meme... trop longtemps j'ai feint de l'ignorer et j'ai accepter d'en payer les consequences

Les consequences: perdre son temps, cultiver de mauvaises habitudes,





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